C’est difficile de désigner un coupable pour un projet qui échoue quand tout était réuni pour réussir.
Mais ce qu’il restait de leur relation, c’était une idée : qu’en tant qu’architectes, ils pouvaient s’affranchir de l’appât des 3 % laissé par la bulle immobilière.
Une architecture financière capable de tripler la valeur et la capacité d’un terrain, de créer des propriétaires, et d’offrir une survie à ceux que le monde a laissés derrière— dans un présent qui ne se retourne jamais